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Ils l'ont vaincu à cause du sang de l'agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n'ont pas aimé leur vie jusqu'à craindre la mort. Apocalypse 12:11
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Ils l'ont vaincu à cause du sang de l'agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n'ont pas aimé leur vie jusqu'à craindre la mort. Apocalypse 12:11
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Beaucoup de transgenres regrettent ce qu'ils ont fait à leurs corps et à leurs âmes. Certains supplient les autres de ne pas répéter leur faute. Ça fait 4 ans que Robert a vécu en tant que « femme » alors qu'un policier lui a demandé, « Tu as tous les droits légaux maintenant, pourquoi tout simplement tu ne profites pas de la vie de femme ? » Cette question a fait bégayer l'ancien activiste de LGBT. Il était là pour former les policiers aux droits transgenres mais il ne pouvait pas répondre à une question basique. Pourquoi ? Pourquoi il faisait toujours cette campagne ? Pourquoi il luttait toujours ? Pendant des jours, Wenman s'est mis dans tous ses états à cause de cette question. Il a attribuait la destruction des âmes à « la société intolérante ». Néanmoins, plus il examinait son cœur en profondeur plus il devait admettre la claire et douloureuse conclusion. Il a dit qu'il luttait pour les droits transgenres mais en réalité il luttait intérieurement. « J'ai essayé de réparer l'extérieur sans réparer l'intérieur », dit-il. L’idée que c’est l’intérieur d’un transgenre qu’on doit réparer est un anathème pour les grands médias. Le magazine Time appelle les droits des transgenres « la frontière suivant des droits civils des Etats-Unis. » The New York Time a, de ses propres dires, « vigoureusement » préconisé la « croisade » transgenre avec l’ancien rédacteur en chef de Times Andrew Rosenthal appellant ceux qui mettent en question le mouvement transgenre « des personnes ignorantes, stupides ». Cette année le National Geographic s’est joint « à la croisade » en dédiant la première édition à la révolution émergente des sexes. Ce qui manquent à ces histoires, pourtant, sont les lamentations silencieuses des ceux qui maintenant voient leur expérience transgenre comme une mutilation psychologique et physique. Walt Heyer, un ancien transgenre de 76 ans qui annonce publiquement son regret, dit qu’il reçoit des e-mails régulièrement d'hommes et femmes transgenres désespérés qui l’ont trouvé par son site. Beaucoup ont subis l’opération irréversible et maintenant la regrettent. Étant horrifiés et impuissants, ils lui écrivent : « Qu’est-ce que je dois faire maintenant ? Je me sens mourant. » Heyer a dit que chaque personne qui l’a contacté révèle un passé traumatique et des cicatrices psychologiques. Leurs histoires déchirantes alignent sur l’expérience de Heyer, c’est-à-dire « transgenre est un terme d’un groupe des maladies mentales qui ne sont pas encore traitées. » Et les conséquences sont dévastatrices. Selon des recherches, le taux de suicide est 20 fois plus haut parmi les transgenres adultes qui subissent la thérapie hormonales et chirurgie de réaffectation sexuelle. Pendant ce temps, une recherche en 2014 a trouvé que 63% des patients auxquels diagnostiqués la dysphorie de genre (une condition où les patients sont en conflit avec leur genre biologique) ont eu au moins une maladie mentale qui coexiste et 33% ont eu des maladies dépressives graves. Quand un psychiatre a dit à Robert Wenman qu’il est affecté d'une dysphorie de genre et l’a conseillé de changer de sexe, sa vie s’est focalisée sur une chose : « Ah oui ! C’est ça : En fait je suis une femme dans le corps d’un homme ! » Wenman a été un gamin timide et seul qui dansait le shimmy en portant les bas, le corset, et les robes de sa maman dans le noir privé du placard de sa chambre. Plus il se travestissait, plus l’addiction « grandissait de plus en plus en nourrissant un monstre. » Comme un adulte, il a subi des périodes boulimiques : la frénésie pour les achats des tenues féminines pour défiler à la maison, suivie de la honte qui lui faisait jeter à la poubelle les vêtements, et le cycle se répétait. Depuis 1991, quand un expert de transgenre lui a dit de changer de sexe, Wenman a pensé que ceci aurait résolu tous ses problèmes. Il a fait son « coming-out » à sa famille, perdu 23 kg, s’est rasé sa barbe, et a fait pousser ses cheveux jusqu’à la taille. Il a commencé la thérapie hormonale et changé ses documents. Six ans plus tard, il est allé en Angleterre en avion pour subir une opération chirurgicale de réaffectation sexuelle et puis il est retourné au Canada avec l’euphorie : « Je pourrais maintenant danser dans les rues. J’avais l’impression que la mission soit accomplie ! » Le sens d’accomplissement n'a pas duré longtemps. Mesurant 182 cm et ayant des mains grandes et masculines et une voix masculine, Wenman avait de la peine à « passer » pour une femme et redoutait d'apparaître en publique. Un bizarre coup d’œil d’un inconnu aurait provoqué une angoisse pour des jours en lui et ses enfants avaient peur de lui. « Les petits étaient effrontément bouche bée devant lui. Au lieu de me sentir libéré, je me sentais comme un criminel. Je suis devenu plus paranoïde avec le temps. » En apparence, Wenman faisait du bénévolat chaque semaine avec la communauté transgenre, défilait au gay pride, gloussait avec les trans-« sœurs » dans les bars du coin, prêchait que le sexe est une conception psychologique. En son for intérieur, il a été brisé émotionnellement. Sa dépression chronique a commencé à affecter son rendement au travail et en Février 2009, après 28 ans d’emploi, il a perdu son travail. Alors que le suicide apparaissait mieux que la vie, Wenman a décidé de trouver une église où il s’est rendu compte, « J’ai fait la guerre avec ma propre âme. J’ai transgressé contre Dieu. J’ai été emprisonné par la culpabilité et la honte. » Après avoir vécu en tant que « femme » pendant 17 ans, Wenman, maintenant à 60 ans, est « redevenu » un homme. Il a coupé ses cheveux blancs, porte des chemises écossaises et des pantalons du rayon hommes et prie pour une femme. Vu que sa chirurgie est irréversible, il se demande si le mariage est possible et déplore le fait qu’il ne peut pas profiter des câlins de ses propres enfants. Du coup quand il entend des histoires de maris qui se déclarent transgenres et quittent leur famille, il pleure : « Je veux les secouer et crier, ‘ tu ne te rends pas compte de ce que tu fais ! Tu abandonnes ta famille pour quelque chose irréel ‘ …mais je comprends comment le sentiment soit puissant parce que je l’ai vécu. C’est presque démoniaque. » Pourtant, c’est toujours possible de le surmonter. Wenmain a dit, en citant Jean 8 :32, « La vérité vous affranchira. » Comme la plupart des filles, Kathy Grace Duncan a construit assez tôt l'image de la femme en regardant sa mère. Ce qu’elle a vu a été quelqu’une de faible, vulnérable et abusée. Chaque fois que son père a maltraité sa mère, elle s’est glissait dans la chambre de Kathy pour pleurer. Pendant qu’elle écoutait sa mère pleurer, la petite fille pensait, « Elle est une femme et moi aussi, mais je ne veux pas être ainsi. » Les parents de Kathy étaient distants d’elle mais son père inondait son petit frère d'attentions au dépit d'elle. Du coup, elle a conclu, « J’ai besoin d’être fils pour obtenir affection et approbation. »
En tant qu'enfant, Kathy rêvait de sortir avec des femmes comme Jaclyn Smith. Contrairement à son père, elle secourait les femmes en détresse, en leur offrant des cadeaux, et en les faisant sentir spéciales – tout ce qu’elle n’a pas eu et désiré. À l’âge de 16 ans, Kathy a été prête à être le gentleman parfait. Elle a coupé ses cheveux courts et les a stylisés comme dans les années 70. Elle portait deux chemises pour couvrir sa poitrine qui florissait tardivement et sortait avec des filles aux parcs et aux fêtes foraines. Kathy n’a pas dit aux filles qu’elle était aussi une fille. À l’âge de 19 ans, Kathy a déménagé et changé de sexe. Elle a officiellement changé son nom en Keith. Elle portait pantalons et cravate au travail. Elle a subi une mastectomie et sortait avec des femmes. Les injections de testostérone ont baissé sa voix, élargit ses épaules, et fait pousser une barbe complète sur son visage. Pendant le processus, elle est devenue chrétienne et s’est beaucoup impliquée dans les ministères de l’église. Personne à l’église ne savait qu’elle était une femme sauf un couple âgé qui la conseillait. Un jour, un pasteur l’a appelé à la salle de prière et lui a demandé, « Qui es-tu vraiment ? » Pour la première fois, Kathy a dit la vérité, « Je suis une femme qui vit comme un homme » au lieu de sa réponse par défaut, « Je suis un homme qui était une femme. » Jusqu’aujourd’hui, Kathy ne sait pas qui l’a poussé à dire ces mots, sauf « le Saint-Esprit qui a débarqué. » Ce qu’elle savait, c’est que si elle voulait une relation intime avec Jésus, elle devait avouer la façon dont Dieu l’a créée. Et puis Kathy a dit quelque chose qui a choqué elle-même et le pasteur, « Je crois que le Seigneur m’appelle à être une femme de nouveau. » Pour la première fois après des années, elle a dormi merveilleusement pendant deux jours, « C’était comme si une pression énorme sur mes épaules avait été enlevée. J’ai vécu une fausse vie pendant 11 ans en vérifiant et en m’assurant constamment que les gens ne sachent pas. » Elle a mis 4 ans à rétablir sa féminité de nouveau. Pendant ces années, elle a perdu son travail, est tombée en dépression et devenue membre de Portland Fellowship, un ministère chrétien qui implique l’homosexualité. Elle a jeté toutes ses injections hormonales, acheté des chemisiers avec ses amies, et même verni les ongles des orteils rouge comme le camion des pompiers pour son anniversaire ; des grands pas pour quelqu’une qui autrefois haïssait sérieusement sa féminité. Au début, des personnes bien intentionnées lui ont donné des lotions et des maquillages en s’attendant à ce qu’elle change tout de suite mais son cœur devait d’abord accepter qu’être une femme est bon. Elle a été fatiguée et accablée pendant plusieurs jours, mais elle s'est souvenue de la foi d’Abraham quand il est sorti de sa ville natale pour se diriger vers la terre inconnue que Dieu lui avait promise. Alors elle a changé sa prière en disant, « OK, Seigneur, fais comme Tu veux. Que dis-tu ? Je suis ce que Tu dis. » Maintenant Kathy accepte les invitations aux églises et dans les rassemblements de jeunes pour partager son témoignage. Antoine Bou Ezz, un ex « femme » transgenre de Beyrouth, Lebanon, a dit aussi qu’il ne peut pas rester en silence. Il avait le travail de son rêve, des belles tenues, et des fêtes glamoureuses, pourtant il pensait à se suicider jusqu’au jour où une femme lui a parlé de Jésus. Le jour après il est allé à l’église et, ayant son cœur vivement touché, il a demandé à Jésus de lui appartenir complètement. Ensuite, en étudiant la Bible, Bou Ezz s’est rendu compte que la trans-identité est fondamentalement un problème de culte : « Dieu a créé un homme et une femme. Il les a bénis et il leur a dit de se multiplier. Il n’a pas créé des transgenres – c’est nous qui avons décidé de subir la chirurgie. » Ce Mars, Bou Ezz célèbre son troisième anniversaire en tant que homme chrétien. Pendant ces trois ans il a proclamé à ceux qui écoutent, « Jésus m’a sauvé. Jesus a changé ma vie. Si tu veux avoir le bonheur et la vérité, jette tout aux pieds de Jésus. » Article originel : Sounding the alarm
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