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Ils l'ont vaincu à cause du sang de l'agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n'ont pas aimé leur vie jusqu'à craindre la mort. Apocalypse 12:11
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Ils l'ont vaincu à cause du sang de l'agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n'ont pas aimé leur vie jusqu'à craindre la mort. Apocalypse 12:11
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La croyance que j’ai été né gay et je ne pouvais pas changer a été enracinée en moi et à cause de ça, j’étais prête à me suicider. À l’âge de 28 ans j’ai atteint une impasse. Si je ne pouvais pas me rapprocher de Dieu à nouveau, je ne voyais qu’une alternative. Le futur d’être toute seule et vieillissante en tant que lesbienne et alcoolique me semblait peu réjouissant. Quand j’avais 20 ans, je me suis cédé à mon orientation et j’ai jeté ma foi. Pendant les quelques premières années je me sentais confortable avec mon identité en tant que lesbienne et je le cachais pas du tout. Pourtant, j’étais consciente que j’ai perdu ma relation avec Dieu qui a été très proche de moi autrefois. À ce moment-là j’avais l’impression que mes prières étaient bloquées. Ma première relation était très puissante et obsessive que j’ai pensé que j’ai trouvé mon âme sœur. Jamais je n’ai expérimenté une relation si dévorante avec quelqu’un d’autre. Elle primait sur toute intention que j’avais pour vivre en tant que croyante, même si j’avais assez d’évidence que Dieu existait et la Bible était Sa parole. Alors j’étais perdu comme j’ai essayé de comprendre, ce que j’ai vu comme la cruauté divine, pourquoi Dieu m’a créé comme lesbienne mais m’a condamné à rejet pour ça. Quand mon « âme sœur » m’a quitté pour quelqu’un d’autre, mon nouveau dieu m’a écrasé. Cependant, maintenant je n’avais aucun doute que j’étais lesbienne. Les hommes me dégoutaient et j’ai trouvé ma place en lesbianisme. Alors je vivais pour trouver « la bonne femme. » Pourtant, après beaucoup de relations, quelques étaient plus à long terme que les autres, j’en suis venu au point où je n’ai pas osé aimer parce que ça m’amenait à trop de douleur. J’ai perdu toutes les illusions que j’allais trouver la vie avec une femme et j’étais vraiment piégée dans mon orientation.
Parce que j’étais tellement endoctrinée, je ne croyais pas que je pouvais changer. Néanmoins, une faible lueur vacillante m’a montré que peut-être je pouvais trouver l’amour en m’approchant de Dieu dont je me suis détourné. Je lui ai demandé s’Il pouvait d’une manière ou d’une autre me montrer si c’est possible. Car si Dieu existait et s’Il m’a tendue le bras, j’étais prête à jeter tout espoir de l’amour humain. J’ai échoué terriblement dans ce domaine. J’étais préparé à laisser cette recherche d’une manière ou d’une autre. Si Dieu le voulait, j’abandonnerais toute prémisse que j’avais et tout simplement Le suivrais en ayant confiance qu’Il est bon et Il pouvait me redéfinir comme Il voulait. Si Dieu ne répondait pas, alors l’action la plus logique serait de mettre fin à tout. Si la rhétorique gay était absolue, alors j’étais piégé et la doctrine qui me disait que je ne pouvais pas changer me tenait en désespoir. Toutefois, j’écris ce témoignage aujourd’hui et c’est l’évidence que j’ai trouvé la réponse. Dieu m’a tendue le bras d’une façon extraordinaire. Il a répondu à mon ultime effort de prière en m’envoyant quelqu’un ce soir pour me parler et m’aider à retourner à ma foi. Je n’avais aucune thérapie réparatrice. Personne ne m’a conseillé. J’ai juste quitté la vie que je vivais et cherchais le secours de Dieu. C’était comme un « état de manque ». C’était un saut extrême de foi. C’était comme la mort et c’était tellement difficile mais ça est devenu un nouveau départ qui respire la vie magnifiquement. Le plus grande secours pour moi était comprendre pourquoi j’étais comme j’étais. J’étais souvent perplexe à cause du grand nombre de mes ami(e)s homosexuel(le)s qui ont été adopté(e)s et je me demandais le rapport entre ça et le lesbianisme ? Plus tard, Pete et moi, nous voulions adopter un enfant mais malheureusement ça n’arrivais jamais. Néanmoins pendant les jours de formation on nous a enseignés de la probabilité de dysfonction qui arrive quand le bébé a été détaché de sa mère biologique, surtout si c’est pour des semaines ou mois. J’ai commencé à voir le modèle de détachement chez presque tous mes amis homosexuels pour une raison inconnue. Pour moi c’était parce que j’étais la dernière de trois enfants. L’aîné est un garçon qui était au pire niveau d’autisme. Ils n’avaient même pas un nom pour ça quand j’étais jeune, mais il avait besoin du soin constant. Ma mère souvent disait qu’elle était heureuse que je fusse un bébé calme vu qu’elle avait seulement le temps pour me nourrir et m’habiller. Un bébé a besoin de plus que ça pour avoir une bonne relation plus tard et pour une fille, ça peut amener à chercher une relation avec une femme parce que cette fonction ne s’est jamais passé. Quand mon frère s’est noyé à l’âge de 12 ans, ma famille est devenue une place sombre et triste pour grandir. Je me suis mis à penser que si j’étais un garçon, j’aurais pu remplacer mon frère et peut-être trouver l’amour de mes parents dont j’avais une très envie. Comme lesbienne, j’avais une forte impression que j’étais un homme qui a été piégé dans le corps d’une femme et peut-être aurais aussi eu bien la chirurgie de réaffectation sexuelle mais j’avais peur de ma mère plus que de Dieu. Ça aurait été impossible de le faire si j’arrivais chez elle comme son garçon au lieu de sa fille. Alors, je devais me faire à sa personnalité qui a été endommagée et comme un adulte je pouvais voir sa maladie tel qu’elle a été et au fur et à mesure lui pardonner et excuser son abus verbal et émotionnel. Mon père a surmonté les foins de famille tout simplement en s’éloignant. Il était un homme très doux et isolé. J’ai failli avoir une relation avec mon père et bien sûr il ne m’a jamais affirmé mon identité comme une femme. Je n’ai pas changé ma vie pour être hétéro. Ma folle envie était pour avoir une relation avec Jesus de nouveau. À l’âge de 28 ans, je me suis rendu compte que je ne savais plus quoi à faire et pour la première fois réalisé qu’une autre femme ne pourrait jamais me compléter. Personne ne pourrait le faire. Je ne voulais plus m’identifier à ma sexualité. J’ai compté vivre une vie chaste et être un disciple de Jesus, faisant toute Sa volonté. Pourtant, Dieu m’a complété et dans mon cas y-compris un mariage. J’ai été mariée à Pete depuis plus que 26 ans mais mon premier amour reste toujours Jesus. Shirley
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